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Metade Fumaca

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les avis de Cinemasie

9 critiques: 4.17/5

vos avis

25 critiques: 3.53/5

visiteurnote
sanosuke 2.5
Manolo 3.5
Duncan 4.25
Izzy 4.25
chronofixer 4.25
Secret Tears 4.75
Toa87 4.25
Maggielover 3.75
JSM 4
wa 0
antigone 4
bazdebaz 4.25
Black_pantha 2.5
Fred30 1.75
Bastian Meiresonne 3.5
X27 4.5
JUKA 2
koneko 3
Sauzer 3.75
lo sam pao 4
Phildu62 3
Nemesis8sin 4
Titeuf@ 4.5
TsimShaTsui 4.25
tu0r 3.75


classer par notes | date | rédacteur    longueurs: toutes longueurs moyen et long seulement long seulement

Un petit film bien rafraîchissant oscillant entre la comédie et la tranche de vie tragique de cet homme revenue du brésil pour retrouver sont amour perdu avant qu'il n'en perde le souvenir, le film s'enchaîne assez bien avec un très bonne interprétation de Eric Tsang et un Nicholas Tse qui sens sors bien, un bon divertissement en clair. Et en bonus ont à droit rare aux apparitions par si par la de Shu qi et Kelly Chen.

10 octobre 2006
par sanosuke


Even Triads get the blues

Un film original qui va à contre courant des films frimeurs, voire racoleurs, du genre. Le tout n'est pas assez abouti, mais reste très agréable. Anthony WONG et Eric TSANG sont parfaits dans leur rôle respectif et font carrément plaisir à voir.

08 mars 2006
par Manolo


Une petite merveille...

Il faut se faire une raison: le cinéma d'action de HK, tel qu'il a fait les beaux jours du cinéma mondial il y a pesque 20 ans et probablement mort et enterré...A la place, il a essayé, avec plus ou moins de reussite de s'orienter vers d'autre genre et bien lui en a pris car ce Metade Fumaca de 1999 est une grande reussite. Porté par un duo d'acteurs en grande forme (notamment Nicholas Tse dans un de ses rares bons roles),le film se laisse porter par une sorte de grâce difficilement explicable avec des mots où chaque image est empreinte de suffisamment d'emotion pour donner une reelle dimension sympathique aux personnages de l'histoire. Celle-ci aurait pu tomber dans le mélo graveleux mais le réalisateur ne tombe pas dans le piège mais joue au contraire la carte de la nostalgie ce qui va particuièrement bien à ce film simple et touchant.

21 mai 2005
par Duncan


très raffraichissant

je sais pas mais pour un film HK ça change un peu, à l'image de la bande son, le plus souvent rappelant le brésil d'ou Eric TSANG revient. c'est léger, fluide mais pas trop superficiel non plus. très bon

27 mai 2004
par chronofixer


Dépaysement sentimental

Étant tombé au hasard sur ce film, je ne peux que me réjouir de cette rencontre. Les personnages sont attachants et charismatiques, sans tomber dans un cliché réducteur qui fait souvent défaut aux films HK. Chaque personnage, malgré son statut déclaré : petit truand, chef de gang, mère épleurée ; amène en réalité son univers propre à l'histoire et son lot de fantaisie, ce qui rend leur histoire attachante, à la fois individuellement mais aussi dans la symbiose de leur rencontre. Je ne fais pas ici de résumé du film, mais me penche plutôt sur les nuances de sentiment que le film ammène. On semble, au départ, avoir droit à un énième film de guerre de triade, qui au bout du compte se soupoudre de comédie et qui finit en y rajoutant de la détresse et de l'humanité. Une belle leçon de vie et une aventure dépaysante peuvent caractériser ce film où l'évolution principale de l'intrigue correspond à l'évolution des personnages, aussi sur eux-même qu'avec les autres protagonistes. Je finirai en parlant de Shu Qi, car à la base j'ai regardé ce film en voyant qu'elle était dans le staff ;-) Ces fans seront déçus car en réalité nous la voyons que quelques minutes, mais grâce à elle ils découvriront Metade Fumaca, un film surprenant de sensibilité et qui sait toujours rester dans le bon ton.

12 décembre 2002
par Toa87


D'ici ou d'ailleurs.

Metade Fumaça (Half Smoked) peut faire croire, sous ses dehors brillants de comédie douce-amère, à une étonnante variation sur l'interaction possible entre narration contrariée et simplicité du regard demandé. Et c'est sans doute le cas. Mais, plus important car politique, ce film s'affirme d'emblée, dès un premier plan faussement salsa, comme une nouvelle variation sur l'esthétique Wong Kar-waï, celle du soulignage et du surlignage, de la désignation par le film de ses propres éléments - acteurs, scénario. C'est le paradoxe de cette esthétique de devoir utiliser des moyens inventifs considérables pour précisément tenter de se faire oublier. Dans Metade Fumaça, cette machinerie de la théatralisation et de l'identification fonctionne de manière remarquable. On pense à Smoke de Wang & Auster (et pour cause : c'est jusqu'à la thématique de la cigarette qui en est reprise). Le soupçon qu'une telle esthétique crée par son exercice même, c'est, comme toujours, celui de l'hypocrisie ; du cynisme au second degré.

17 juin 2001
par Maggielover


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